16 décembre 2009
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Un gros point noir à la sortie de Bar le Duc, sur la route de Reims... ce "pont biais" qui fait pester les automobilistes dès qu'un train annonce son arrivée! Dans trois ans, si tout va bien, ne seront plus qu'un mauvais souvenir, ces barrières qui se baissent et stoppent parfois très longtemps le trafic intense qui trace et retrace à cet endroit stratégique, où l'on passe au-dessus du canal, où l'on croise la voie ferrée. Le grand chantier a commencé, qui veut à terme permettre aux usagers de la route de passer sous la voie qui date de l'époque du Maréchal Oudinot.
Soixante-deux trains qui croisent 11500 véhicules... de quoi effectivement réfléchir à une infrastructure qui réduira les risques, fluidifiera le trafic et apportera une meilleure sécurité.
Restera (!) ensuite à réaliser un pont pour cette fois-ci passer au-dessus du canal et avoir en ligne de mire le contournement sud de Bar le Duc, serpent de mer depuis cinquante ans et qui n'a jamais été si près de devenir un véritable projet très concret, puisque des études ont été engagées.
En attendant cette transformation du paysage, c'est la noria des gros engins qui culbutent des tonnes de terre pour creuser, terrasser et dessiner le "synclinal" qui figurera le tracé de la future route.
Déjà un pont rail métallique permet le passage des convois ferroviaires, mais à vitesse réduite. Dessous, c'est un travail minutieux qui s'effectue pour préparer l'habillage de fer et de béton qui viendra s'arrimer aux parois dégagées par les excavateurs.
Rendez-vous en 2012 pour la fin des travaux. Encore quelques mois de patience...
Soixante-deux trains qui croisent 11500 véhicules... de quoi effectivement réfléchir à une infrastructure qui réduira les risques, fluidifiera le trafic et apportera une meilleure sécurité.
Restera (!) ensuite à réaliser un pont pour cette fois-ci passer au-dessus du canal et avoir en ligne de mire le contournement sud de Bar le Duc, serpent de mer depuis cinquante ans et qui n'a jamais été si près de devenir un véritable projet très concret, puisque des études ont été engagées.
En attendant cette transformation du paysage, c'est la noria des gros engins qui culbutent des tonnes de terre pour creuser, terrasser et dessiner le "synclinal" qui figurera le tracé de la future route.
Déjà un pont rail métallique permet le passage des convois ferroviaires, mais à vitesse réduite. Dessous, c'est un travail minutieux qui s'effectue pour préparer l'habillage de fer et de béton qui viendra s'arrimer aux parois dégagées par les excavateurs.
Rendez-vous en 2012 pour la fin des travaux. Encore quelques mois de patience...